This ensures that the person occupying committee Chair remains responsive to the committee and optimized for the task they have undertaken, as time goes on and their workload or family circumstances change over time. While there is a defined term length, there are no limits on re-electing the same incumbent Chair over and over, when they are doing a fine job.  

This amendment is especially important for NCC and NPC, where the Chair is initially appointed by National Council, which makes sense since a fresh crew of NCC and NPC reps can benefit from a steady hand that National Council feels has the proven experience (ideally from prior NCC / NPC as well as prior Convention involvement) to kick things off on an even keel. If they do a great job, their appointment would be confirmed with a re-election about a year later. If there’s a majority favouring a better candidate for the job, they’d be elected to serve as Chair. 

That said, if ever there was an election to immediately elect and not appoint NCC and NPC Chairs, this proposal would in no way conflict with that; It would simply limit that term to 12 months (plus possible up to 2 month extension).

This proposal increases accountability of a Committee Chair to the people around their committee table, as well as to those who, in turn, elected the Committee members. Our party should lead by example in holding ourselves to a high level of accountability, just as we demand this from other parties. Moreover, if EDA presidents have to submit to constitutionally mandated elections every 12-15 months, shouldn't the Chair of a committee with nationwide power have to submit to election, too?

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Proposition:

Le mandat du président du CNC, du CNP, du Conseil national et de tous ses comités – que le poste soit initialement élu ou nommé – dure normalement 12 mois, mais peut être prolongé jusqu'à 2 mois supplémentaires. Après, chaque mandat suivant de 12 à 14 mois sera élu au scrutin secret. Rien n'empêche un président en exercice qui est un membre en règle de solliciter sa réélection.

Raisonnement:

Cela garantit que la personne occupant le président du comité reste sensible au comité et optimisée pour la tâche qu'elle a entreprise, car les circonstances peuvent changer avec le temps et sa charge de travail ou sa situation familiale changer avec le temps. Bien qu'il y ait une durée de mandat définie, il n'y a aucune limite à la réélection du même président en exercice à plusieurs reprises, lorsqu'il fait du bon travail.

Cet amendement est particulièrement important pour la CNC et la CNP, où le président est initialement nommé par le Conseil national, ce qui est logique puisqu'une nouvelle équipe de représentants de la CNC et de la CNP peut bénéficier d'une main ferme qui, selon le Conseil national, a fait ses preuves (idéalement d'anciennes CNC / CNP ainsi que la participation antérieure au congrès) pour lancer les choses sur un pied d'égalité. S'ils font le meilleur travail possible, leur nomination sera confirmée par une réélection environ un an plus tard. S'il y a une majorité en faveur d'un meilleur candidat pour le poste, ils seraient élus pour occuper le poste de président. 

Cela dit, si jamais il y avait une élection pour élire immédiatement et non nommer les présidents des CCN et des CNP, cette proposition n'entrerait en aucun cas en conflit avec cela ; Cela limiterait simplement cette durée à 12 mois (plus une extension possible jusqu'à 2 mois).

Cette proposition augmente la responsabilité d'un président de comité envers les personnes autour de la table de son comité, ainsi qu'envers ceux qui, à leur tour, ont élu les membres du comité. Notre parti devons donner l'exemple en nous tenant à un niveau élevé de responsabilité, tout comme nous l'exigeons des autres parties. De plus, si les présidents de l'ACÉ doivent se soumettre à des élections mandatées par la Constitution tous les 12 à 15 mois, le président d'un comité doté d'un pouvoir national ne devrait-il pas également se soumettre à des élections ?